De duel à deuil il n’y a qu’un « i »
Le i de l’impatience des amants ; Viendra-t-il ? M’aime-t-elle encore, encore plus, moins que moi ? Ils sont le i de leur passion.
Puis la routine a raison des jeux de séduction. L’amour s’ennuie, l’amour s’enfuit vers le i de l’infidélité.
Éclate le i de l’incompréhension car on s’était promis le meilleur, se jurant d’écarter le pire.
L’orgueil et la douleur mènent à l’irréparable, commis en croyant que prendre la vie rendra le bonheur.
Vient le temps de l’inutilité des regrets, quand on comprend, trop tard, que le deuil ne se dilue pas dans le i.