Tellement végan
O-ver-boo-kée. Ce n’est pas facile de courir partout quand on prône le slow-down ; pas facile de prendre du temps pour soi, se ressourcer, quand il y a tellement de Cliquez ici pour lire
O-ver-boo-kée. Ce n’est pas facile de courir partout quand on prône le slow-down ; pas facile de prendre du temps pour soi, se ressourcer, quand il y a tellement de Cliquez ici pour lire
Louise a tellement de mots et d’images dans la tête que les bancs, les parapets, les poteaux ne prennent consistance que trop tard, lorsqu’ils sortent du brouillard dont Louise les Cliquez ici pour lire
(librement inspiré de la pièce de Jean Cagnard, Les Gens Légers) Il était une fois un canon de beauté, nonchalamment couché Il était une fois des canons dressés, vers la Cliquez ici pour lire
Librement inspiré de Charles Perrault Il était une fois un homme qui n’aimait pas le célibat. Il rêvait d’une dame à son bras, de tendres émois, mais son physique ingrat Cliquez ici pour lire
Elle est plus que ce visage fuyant pour ne pas voir Elle est plus que ce visage fuyant pour ne pas décevoir Elle est plus que ce visage fuyant pour Cliquez ici pour lire
De duel à deuil il n’y a qu’un « i » Le i de l’impatience des amants ; Viendra-t-il ? M’aime-t-elle encore, encore plus, moins que moi ? Ils sont le i Cliquez ici pour lire
Je suis rivé à ton rivageMais ce soir tu m’as viréJe dérive, découragé.je te découvre mirageTon visage ravagé, peau vérolée, cheveux voletant en volutes vipérinesJe te vois, tu es vraiment Cliquez ici pour lire
Elle bombe fièrement le corps, arborant son motif de jeux galants. Elles est une dame d’une autre époque, mais très bien conservée. Ses couleurs sont toujours vives, sa anse toujours Cliquez ici pour lire
Je ne suis plus que JeDepuis que TuAs voulu retourner à ton IlNousA coulé, suffoqué, s’est noyé.Ça me dirait une pizza pour dîner ? Ça me revient, je préfère les sushis. Cliquez ici pour lire
Il y a des mâles aimants Et puis des mâles habiles Et des mâles avisés Qui abordent, séduisent, mystifient Des filles de bien Qui tournent mal Et tellement vite qu’elles Cliquez ici pour lire