Ce que les autres font de moi
MOI Si je n’étais pas moi, je susciterais l’amour et non l’envie Si je n’étais pas moi, je serais la quadrature d’un cercle vertueux, et non vicieux Si je n’étais Cliquez ici pour lire
MOI Si je n’étais pas moi, je susciterais l’amour et non l’envie Si je n’étais pas moi, je serais la quadrature d’un cercle vertueux, et non vicieux Si je n’étais Cliquez ici pour lire
« Un coup de », a-piori n’est pas très agréable. Et pourtant, qu’en est-il du coup de main sans coup de pied ? Ou un coup de rein sur un coup de tête ? Cliquez ici pour lire
Partir. Pourtant y revenir, même à reculons. Le pire des sens pour aller de l’avant, sauf pour qui préfère assurer ses arrières. Scruter hier et foncer à l’aveugle vers demain. Faire Cliquez ici pour lire
J’ai écrit pendant 15 jours, les pages se noircissaient, cela me grisait. Le stylo courait, volait, mais les mots le devançaient. Au bout de 3 jours mon roman était fini, Cliquez ici pour lire
Elle est terminée et pourtant présente, une « sur-veillance » qui ne contrôle pas, non, qui ne juge pas d’intransigeance, non, mais qui accompagne avec bienveillance. Elle est diaphanement proche quand s’immisce Cliquez ici pour lire
C’est l’histoire d’un type qui voulait être elle, le maquillage pour adoucir ses traits et souligner sa vérité. Il avait abandonné le pantalon, parangon de garçon, pour revêtir robe et Cliquez ici pour lire
Les conversations s’alanguissent. Les quelques phrases lancées sont d’une telle banalité qu’on ne prend pas la peine de les terminer. Ils y répondent par un hochement de tête, un soupir, Cliquez ici pour lire
Je joue à être toi Tu en perds ton Moi, ça devient compliqué Il, monte à la surface et ça brouille le contrôle Nous sommes dès lors divers, désassemblés, mal Cliquez ici pour lire
Jeanne : Nous cherchons un bel endroit, enfin quand je dis bel, je veux dire cossu et spacieux. Jean : Avec de grandes pièces ouvertes en enfilade. L’agent : Permettez-moi, mais quand Cliquez ici pour lire
Quartier de pomme, croissant de lune, je croque la vie. Un goût amer emplit ma bouche, je suis perplexe. Je bois la coupe jusqu’à la lie et à la dernière Cliquez ici pour lire