Je suis rivé à ton rivage
Mais ce soir tu m’as viré
Je dérive, découragé.
je te découvre mirage
Ton visage ravagé, peau vérolée, cheveux voletant en volutes vipérines
Je te vois, tu es vraiment vilaine
La flamme ne sera pas ravivée. Je le sais
Je me remets à flot, et je m’esquive à vau-l’eau
Vers d’autres îles invraisemblables,
Rades vespérales
Même si je rame, j’y arriverai
Avarie avérée
Taggé amour, espoir.Mettre en favori le Permaliens.